• 1/ Saint-Hilaire-du-Touvet

    Les monuments commémoratifs en Isère (communes de S à Z)

    Les monuments commémoratifs en Isère (communes de S à Z)

    2/ Saint-Martin d'Hères

    Les plaques et monuments commémoratifs en Isère (hors Grenoble)

    Les plaques et monuments commémoratifs en Isère (hors Grenoble)

    Les monuments et plaques commémoratifs en Isère 

    3/ Venon 

    Les plaques et monuments commémoratifs en Isère (hors Grenoble)

    4/ Vizille

    Les monuments commémoratifs en Isère (communes de S à Z)

    Les monuments commémoratifs en Isère (communes de S à Z)

    Les monuments et plaques commémoratifs en Isère

    Les monuments commémoratifs en Isère (communes de S à Z)

    Les monuments commémoratifs en Isère (communes de S à Z)

     

     (A suivre...) 

     

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  • Grenoble est libérée ! Les premiers Américains

    Directeur du Musée de la Résistance et de la Déportation de l'Isère, Olivier Cogne est formel : "Les premiers Américains à entrer dans Grenoble furent ceux du 143ème Régiment d'infanterie de la 36ème Division, commandée par le colonel Paul Adams, qui avait établi son quartier général à l'auberge Napoléon, rue Montorge. Ce n'est qu'ensuite que la relève a été assurée par les hommes de Philip Johnson, du 179ème Régiment de la 45ème Division, qui sont arrivés le 23 août."

    [1] L'auberge Napoléon en 2014 (rue Montorge) :

    Grenoble est libérée ! Les premiers Américains 

    [2] Plaque à la mémoire de Philip Johnson (parvis des Droits de l'Homme, au Jardin de Ville) :

    Grenoble est libérée ! Les premiers Américains

     

    En revanche, tout le monde a oublié - ou presque... - l'arbre planté le 28 août 1976 par la Royal Air Force Escaping Society dans le parc Albert-Michallon qui, jeune chirurgien gaulliste du maquis du Grésivaudan, allait opérer les aviateurs anglais abattus ou réfugiés dans la région.

    Albert Michallon (Buridan) fut ensuite élu maire en 1958, et décrocha, à Innsbrück (Autriche), les Jeux Olympiques de 1968.

    [3] L'arbre du parc Albert-Michallon :

    Grenoble est libérée ! Les premiers Américains

    Grenoble est libérée ! Les premiers Américains

    Grenoble est libérée ! Les premiers Américains

     

    (Source : article du Dauphiné Libéré du jeudi 21 août 2014)

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  • Les 21 et 22 août 2014 eut lieu la commémoration du 70ème anniversaire de la libération de Grenoble.

    Afin de fêter cet évènement, un défilé de véhicules anciens et de militaires en tenues d'époque est parti du Jardin de Ville pour arriver au Parc Paul-Mistral.

    Voici quelques photos prises sur le boulevard Maréchal-Lyautey et au parc Paul-Mistral :

     

    Ci dessous : une Citroën Chausson.

     Un camp de base américain était installé au parc Paul-Mistral (au fond, à gauche : la mairie de Grenoble : à droite : la tour Perret)

     

     

     

     

     

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  • Les 21 et 22 août 2014 eut lieu la commémoration du 70ème anniversaire de la libération de Grenoble.

    Afin de fêter cet évènement, un défilé de véhicules anciens et de militaires en tenue d'époque eut lieu est parti du Jardin de Ville pour arriver au Parc Paul-Mistral.

    Voici quelques photos prises au Jardin de Ville et place de Gordes :

     

     

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  • Il n'en reste aujourd'hui que les ruines laissées par l'offensive nazie du 23 juillet 1944. 

    Le 23 juillet 1944

     Valchevrière fut pourtant au début du XIXème siècle le hameau le plus important de Villard-de-Lans, avant de subir l'exode rural. C'est ici que la Résistance connut l'un des épisodes tragiques de cet été 44. Le 23 à 9 heures, l'armée nazie s'attaque au "donjon", l'un des passages clés pour accéder au sud Vercors (après un premier assaut repoussé la veille). Retranché avec sa section dans ce hameau déserté de ses derniers habitants, le lieutenant Chabal est pris au piège "à un contre vingt". Il envoie un message à Jean Prévost :

    "Nous nous apprêtons à faire "Sidi Brahim".

    Décidé à lutter sans se rendre, il fut touché à 11 heures et, avant de mourir, parvint à faire disparaître le calepin où étaient consignés les noms de ses hommes. Les nazis brûlèrent alors ce qui restait du hameau mais ne touchèrent pas à la chapelle du XIXème siècle toujours debout.

    De ce 23 juillet, certains en réchappèrent malgré tout, dont Marc Riboud (devenu un des plus grands photoreporters du XXème siècle), revenu sur les lieux en 2011. A 88 ans, il se souvenait encore de ce petit coin de forêt où il s'était caché de l'ennemi avant de prendre la fuite.

    (...)

    Un épisode dramatique qui a ravivé la tradition du pèlerinage de Valchevrière.

     

    (Source : Le Dauphiné Libéré du 23 juillet 2014)

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